Votre nécessaire en tant que développeur :
On ouvre Spring Tool Suite 4 et on choisit son workspace.
On clique sur « Launch » et là on a un IDE, mais Wouha come back to the future (demandez à une IA de vous générer une phrase pareil).
Sur votre gauche (👈), cliquez sur « Create new Spring Starter Project ». Et là sous vos yeux ébahis Mesdames et Messieurs, une fenêtre de configuration de votre projet :
- Serice URL => C’est pour votre IDE, ne changer rien ça vous va à ravir
- Name => En français on pourrait le traduire par « Nom », et c’est d’ailleurs ce que l’on va faire. C’est assez pratique parce que c’est le nom de votre Projet
- Use default location => Laissez comme ça pour commencer, mais ça vous permettra de changer le dossier des sources de votre projet ( et des binaires par la même occasion).
- Type => Vous permet d’indiquer si vous êtes un type plutôt groovy (qui aime danser de la musique)… Non vous avez le choix entre maven (plus verbeux) ou Gradle qui l’est moins. Groovy et Kotlin sont proposé pour Gradle, je prendrais Groovy pour des questions d’habitudes.
- Packaging => pour commencer on va prendre JAR. La Guerre c’est mal, buvez de l’eau.
- Java Version => Version de java (traduction réalisée sans IA), on choisis la 21 parce que c’est la dernière LTS. LTS étant les versions qui ont un support long.
- Language => On a décidé de faire la Java. C’est le language par défaut de la JVM, les deux autres languages sont utilisables aussi. Mais la suite du cours serra faite en JAVA.
- Group => C’est le groupe au quel est rattaché votre projet, il pourra être utlisé si votre projet est partagé notamment. C’est à vous de créer votre Group
- ArtefactId => Quand Gradle va remplir votre Jar, le nom du fichier jar commencera pas artefactId.
- Version => La version de votre projet. Il peut être utile de faire évoluer le numéro de version dans l’avenir afin de savoir quel version du projet est en production.
- Description => Ce qui décrit le mieux votre projet, par exemple : « Parce que c’est notre projet !!! »
- Package => Il est communément admis que le package on prend le nom de domaine à l’envers par exemple, si vous travaillez dans une grande société qui aurait pour site raphlys.com le package et « com.raphlys ». On peut prendre des exemples plus anecdotique comme : com.google, com.java …
- Working sets => Vous vous souvenez du bouton rouge dans MIB? Ben là, c’est pareil.
Vous cliquez sur next. On prend « Spring Boot Version » => « 3.4.1 », simplement c’est l’une des dernières vous pouvez prendre toute version 3.4.x.
On n’ajoute pas de dépendances supplémentaires pour le moment. On le ferra plus tard pour bien comprendre ce que l’on fait.
Vous cliquez enfin sur « Finish ». Et vous attendez un peu, allez prendre un café, jouer avec gosses, ranger vos chaussettes… Et puis revenez, vous réaliserez alors que le monde dans lequel on vit va trop vite et vous constaterez la structure suivante
- RaphlysDemo => Le Name dans la capture précédente
- src/main/java => Vos sources pour l’exécution du projet
- com.raphlys => Votre package, si vous regardez votre system de fichier vous remarquerez que « raphlys » est un dossier dans le dossier « com ». Dit autrement com.raphlys => ./com/raphlys
- src/main/resources => Les ressources de votre projet, on pourra y mettre plus tard les ressouces static dans un dossier « static ».
- application.properties => Les propriétés de votre application, on pourra y configurer votre Base de données dedans par exemple.
- JRE System Library => La JRE au cas où vous vouliez voir son code… Débugger le votre, parce qu’il interagit avec.
- Project and External Dependencies => Comme pour la JRE, mais pour vos dépendances
- bin => Là où vont être mis les binaires (le restant étant les non binaires, c’est une vanne)
- src => un rappel des sources
- build.gradle => Vous permet de configurer Gradle pour votre projet, vous retrouverez des informations que vous avez rentrées dans la capture précédente. C’est ici que l’on ajoutera vos dépendances.
- gradlew => Un shell qui permet de compiler votre code
- gradlew.bat => Un shell batard qui permet de compiler votre code sous Windows. De façon général sachez que le .bat signifie batard.
- HELP.md => C’est un fichier d’aide
- settings.gradle => Un fichier de configuration Gradle, qui contient le nom de votre projet.
Pour finir, vous cliquez sur « Spring Boot App », comme sur l’image suivante :
Et voilà , certains vous diront qu’en ayant fait cela vous avez obtenu un logiciel qui ne fait rien. Mais sachez que vous venez de créer votre premier projet Springboot et que celui ci consomme des ressources mémoire et processeur.
Merci de m’avoir lu jusqu’aubout et pour vous en remercier je vous propose de vous dévoiler un secret sur moi, « J’aime la pizza »
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